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Réflexions comparatives sur l’instrumentalisation du néoconfucianisme au Joseon et de la Renaissance en France à travers les cartes de Yi Hoe et Oronce Fine (XVe-XVIe siècles)

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Author(s)
에세트 제레미
Issued Date
2018
Keyword
Mots-clés : 프랑스 르네상스 (Renaissance française) 조선 성리학 (néoconfucianisme au Joseon) 오롱스 핀 (Oronce Fine) 이회 (Yi Hoe) 지도 도구화 (instrumentalisation cartographique) 강리도 (Kangnido).
Abstract
La France et la Corée partageraient-elles autre chose que leur extrême éloignement ? Les études comparatives qui leur sont consacrées se concentrent sur une période abondamment documentée mais relativement brève, celle de leurs relations diplomatiques de 1886 à maintenant. Cette recherche est en partie motivée par l’observation intrigante que peut-être la France et la Corée n’ont jamais été aussi proches l’une de l’autre que lorsqu’une historiographie conventionnelle a voulu nous faire croire qu’elles s’ignoraient. En recoupant des matériaux jusque-là parallèles nous avons voulu démontré qu’avant ce qui a été étiqueté comme la rencontre entre la Corée et la modernité exportée par l’Occident en Extrême-Orient, le royaume de Joseon avait bien été le théâtre et l’acteur d’une autre modernité au XVe siècle, voire plus tôt, modernité pas entièrement déconnectée de ce qui impulsera le grand décloisonnement de l’Europe occidentale et du reste du monde au XVIe siècle. En d’autres termes, cette recherche se propose de comparer le néoconfucianisme coréen et la Renaissance en France. Étant donné que cet éclairage n’a pas été fourni par des études antérieures, il requiert une nouvelle grille d’analyse présentée ci-dessous.

La Renaissance française et le néoconfucianisme coréen offrent des paramètres vaguement similaires : l’avènement d’un État et de ses attributs – lois, impôts, institutions, armée – ; une révolution intellectuelle au cœur de laquelle les valeurs de l’humanisme et du néoconfucianisme placent l’homme ; une conjoncture internationale avec une puissance hégémonique d’abord menaçante puis sur le déclin – la Chine et l’Empire des Habsbourg – ; un renouveau des perspectives économiques et des statuts sociaux, pour n’en citer que quelques-uns. Les cartes, les réflexions qu’elles inspirent ou qui s’y réverbèrent se sont progressivement imposées comme thème de recherche pour plusieurs raisons. D’abord, en tant qu’interprétations de la réalité, les cartes et leurs cartographes ont recours à des outils technologiques et conceptuels pour appréhender un environnement que lettrés-fonctionnaires comme humanistes tentaient de redéfinir. Dans leur lutte pour une reconnaissance disciplinaire, ils durent s’émanciper d’autres domaines comme l’histoire, les mathématiques ou la littérature ainsi que des croyances jusque-là prédominantes – ici le catholicisme, là le bouddhisme ou le shamanisme. La géographie en général et la cartographie en particulier furent donc représentatives d’un plus vaste réagencement des savoirs en partie tributaire de l’ordre politique que les Yi et les Valois cherchaient à imposer, si ce n’est sur la scène internationale, du moins sur leur propre territoire.

La première partie de cette thèse explorera les théories cartographiques et les instruments scientifiques qui ont à des degrés divers façonné les cartes de deux des plus brillants cartographes de leur siècle : le Paltodo (1400) et le Kangnido (1402) de Yi Hoe et la Recens et integra orbis descriptio (1536) et la Nova totius Galliae descriptio (1538) d’Oronce Fine. L’examen des circulations de biens et de connaissances en Eurasie appréhendées à travers le prisme de théories comme l’histoire des techniques ou les histoires connectées nous permettra de tisser un canevas, qui bien que sous-jacent aux cartes étudiées, les reliera et renforcera la pertinence de notre projet comparatif. La deuxième partie abordera la plus grande conjoncture géopolitique du XVe siècle coréen et du XVIe siècle français. Cette orientation se justifie par le fait que Yi Hoe comme Oronce Fine furent respectivement nommés cartographe royal et lecteur royal par Taejong et François Ier. À ce titre, l’hypothèse que leurs cartes n’aient pas été que de simples représentations scientifiques et artistiques mais également des feuilles de route pour les politiques nationales et internationales de leur monarques mérite d’être évaluée. À preuve, certaines erreurs sur leurs travaux ne relèvent pas d’un déterminisme technologique ou d’une application fidèle de leurs connaissances mais indiquent plutôt une volonté politique que nous décoderons à la lumière des théories de relations internationales. La troisième et dernière partie se penchera sur la graphie contenue dans le terme géo-graphie dont la pratique et les étymologies occidentales comme extrême-orientales admettent toutes l’acception d’une écriture du monde. Nous analyserons en particulier la façon dont l’usage des langues dans les cartes de Yi Hoe et Oronce Fine est révélateur, d’une part, des diglossies entre latin et français, chinois classique et hangeul ; et d’autre part, de l’instrumentalisation de la langue sur et par-delà le support cartographique. Pour ce faire, nous essaierons d’évaluer jusqu’où les entreprises linguistiques française et coréenne ont su se porter garantes des valeurs que la philologie humaniste philhellène et la théorie de la rectification des noms avaient pensé pouvoir incruster dans les langues référentielles que furent le grec et le chinois classique.

Les conclusions de chacune des parties de cette thèse tenteront de soupeser la validité des trois hypothèses formulées en introduction. Premièrement, en gardant à l’esprit le parti diachronique de notre périodisation qui s’est focalisée sur le XVe siècle coréen et le XVIe siècle français, est-il raisonnable d’affirmer que la cartographie finienne ait pu bénéficier d’idées et d’outils qui, s’ils ne provenaient pas directement du Joseon, ont en tout cas été colportés le long de voies d’échanges eurasiatiques à très faible pente ? Deuxièmement, ayant posé que Fine et Yi Hoe utilisaient des instruments aux fonctions très semblables, jusqu’à quel point une lecture géopolitique de leurs cartes, et non plus strictement technologico-déterministe, contribue-t-elle à expliquer le décalage entre d’un côté, la représentation du monde tel qu’ils le connaissaient et celle du monde tel qu’ils le dépeignirent ; et de l’autre, entre leurs représentations du monde mises face à face ? Enfin, et en suivant le mouvement général de notre réflexion qui est partie des dessous scientifiques des cartes pour ensuite se frayer un cheminement entre leurs reliefs conjoncturels et finalement s’atteler à déchiffrer leurs motifs les plus explicites – les langues –, est-il possible de dédoubler la comparaison linguistique franco-coréenne d’un parallélisme entre la réappropriation des langues et des valeurs dont elles héritèrent de leurs antiquités respectives ? Décidément peu encline aux coïncidences, notre contribution espère fournir un cadre pour repenser l’instrumentalisation cartographique, réaffirmer l’importance de la Corée dans le plus vaste écheveau des recherches sur l’Extrême-Orient et redéfinir les confluences des deux courants qui traversèrent l’existence et les œuvres de Yi Hoe et Oronce Fine – le néoconfucianisme et la Renaissance.


Mots-clés : Renaissance française ; néoconfucianisme au Joseon ; Oronce Fine ; Yi Hoe ; instrumentalisation cartographique ; Kangnido.
|한국과 프랑스는 언뜻 보기에는 각각 아시아와 유럽의 끝에 위치하면서 서로 유사점이 없어 보인다. 실제로 이제까지의 한국과 프랑스간의 비교 연구들은 짧지만 충분히 고증된 기간, 즉 1886년부터 오늘날까지의 양국 간의 외교 관계에 집중되어 있다. 본 연구는 관례적으로 이제까지 양국이 서로의 존재를 모르고 있었다고 말하는 사료 편찬과는 달리, 어쩌면 한국과 프랑스가 서로 아주 근접해 있을 거라는 호기심 어린 관찰에서 비롯된다. 본 연구에서 필자는 이제까지는 평행선상에 놓인 양국의 자료들을 대조하면서, 서구로부터 유입된 현대성을 만나기 이전에 이미 조선왕조가 15세기 아니 어쩌면 그 이전에 이미 다른 모습의 현대성을 갖추고 있었다는 사실을 보여 주고자 하였다. 이 현대성은 16세기 서유럽과 그 밖의 국가들간의 교류가 증대되면서 행해진 세계화와 무관하지 않다. 이에 본 연구에서는 조선의 성리학과 프랑스의 르네상스를 비교하고자 한다. 그러나 이와 관련된 선행연구들이 거의 없는 탓에 견고한 분석이 될 수 있도록 노력을 기울일 것이다.

조선과 르네상스 간에 유사한 요소들을 찾는 것은 어려운 일이 아니다. 가령 국가의 출현 그리고 법, 조세, 제도와 같은 국가 기관들의 탄생, 인간을 중시하는 인본주의와 성리학의 지적 혁명, 중국과 합스부르크 제국과 같이 위협적이지만 곧 쇠퇴하는 패권주의의 국제 정세, 새로운 경제 체제와 사회적 지위의 변화 등을 예로 들 수 있다. 필자는 여러 가지 이유에서 지도를 연구 대상으로 선택했다. 우선 지도 제작자들은 세상을 이해하는데 있어서 인본주의자들과 같은 선비들이 새롭게 정립하려고 했던 세계를 묘사하기 위해 기술과 개념들을 동원한다. 이들은 지리학을 하나의 학문으로 수용하려는 노력의 일환으로 역사, 수학, 문학, 천주교, 불교, 샤머니즘과 같은 분야들과 지리학을 분리시키고자 했다. 따라서 지리학, 특히 지도 제작법은 지식이 어떻게 재구성될 수 있는지를 잘 드러내준다고 하겠다. 또한 이러한 지식의 재구성은 조선왕조와 Valois 왕조가 주변국들에 아니면 적어도 자신들의 영토 내에서라도 부과하려던 정치 체제와 연결되어 있다.

우선 제 1부에서는 당대에 가장 훌륭한 지도 제작자들의 두 지도에 영향을 준 지도 작성 이론과 과학 도구들을 살펴볼 것이다: 이회의 팔도도(1400)와 강리도(1402) 그리고 Oronce Fine의 Recens et integra orbis descriptio (1536)와 Nova totius Galliae descriptio (1538). 기술의 역사 혹은 « connected histories » 이론을 통해 본 유라시아로의 지식과 제품 전파에 대한 검토는 위 지도들에서 표면적으로 드러나 있지는 않지만 해당 지도들 간에 연결고리가 있음을 보여줄 것이며, 위 지도들을 비교하려는 우리의 연구의 타당성을 뒷받침해줄 것이다. 제 2부에서는 한국의 15세기와 프랑스의 16세기를 지정학적인 관점에서 바라볼 것이다. 우리의 이와 같은 의도는 태종이 이회를 궁중 지도 제작자로, 프랑수와 1세가 Oronce Fine를 왕립교수단원으로 임명했던 사실을 통해 증명된다. 이에 그들의 지도가 단순한 과학적, 예술적 표상일 뿐만 아니라 그들 군주의 국가적, 국제적 정치를 위한 일종의 로드맵이었다는 가설을 뒷받침할 필요가 있다. 그 근거는 그들의 작업에서 나타나는 오류가 기술적인 문제나 그들의 지식에서 비롯되는 것이 아니라 오히려 그것은 지도제작자들의 정치적인 의도를 드러내며, 우리는 이와 같은 사실을 여러 국제 관계 이론들을 통해 밝혀낼 것이다. 제 3부에서는 géo-graphie라는 어휘에 담겨 있는 글자(문자)에 대해 알아볼 것이다. 이 용어는 서구 어원과 극동 어원 모두에서 그림 뿐만 아니라 문자라는 의미를 지니고 있다. 무엇보다 우리는 Oronce Fine와 이회의 지도에서 각각 라틴어와 프랑스어, 한자와 한글이 어떤 방식으로 병용되는지에 대해 분석해 볼 것이다. 이와 더불어 지도 분석을 넘어서 언어가 어떻게 자신들의 권력 유지에 이용되는 지를 볼 것이다. 이를 위해 본 연구에서는 그리스어와 한자에 부여됐던 가치가 고대 그리스어와 공자의 정명론에 따라 프랑스어와 한글에 각각 어느 정도까지 보존되어 있는지 알아볼 것이다.

끝으로 서론에서 제시한 세 가정들의 타당성에 대해 면밀히 검토할 것이다. 첫 번째로 Oronce Fine가 지도를 제작할 때, 비록 조선에서 직접적으로 비롯된 것은 아닐지라도, 유라시아의 무역 경로를 따라 전파되었던 개념 및 도구를 이용했다고 주장하는 것이 타당한가? 두 번째로 Oronce Fine와 이회가 대략 유사한 도구를 사용했다고 하지만, 그들의 지도에 대한 지정학적 해석이 그들이 각각 조선과 프랑스에 대해 실제로 갖고 있는 지식과 그들이 제작한 지도 간의 간극을 밝히는데 그리고 조선과 프랑스 지도 간의 차이를 설명하는 데 얼마나 기여하는가? 세 번째 프랑스어와 한국어 비교를 위해서 그리스어와 한자를 비교하는 것이 가능한가 ? 본고는 정치수단으로서의 지도 작성에 대해 재검토하고, 극동의 많은 연구들에서 한국의 중요성을 재확인하며, 이회와 Oronce Fine의 삶과 업적에 영향을 미쳤던 성리학과 르네상스를 재정의하기 위한 틀을 제공하길 바란다.

Mots-clés : 프랑스 르네상스 (Renaissance française) ; 조선 성리학 (néoconfucianisme au Joseon) ; 오롱스 핀 (Oronce Fine) ; 이회 (Yi Hoe) ; 지도 도구화 (instrumentalisation cartographique) ; 강리도 (Kangnido).
Alternative Title
조선 성리학과 프랑스 르네상스 시대에 정치적 도구로 제작된 이회와 Oronce Fine의 지도 (15-16세기)의 비교 연구
Alternative Author(s)
Jeremie Eyssette
Department
일반대학원 문화학과
Advisor
임정혜-이승권
Awarded Date
2019-02
Table Of Contents
ABSTRACT 8
INTRODUCTION 14
I. La Renaissance et le néoconfucianisme face à face 14
A. Premières définitions, foyers secondaires 14
B. Des perspectives et des paysages pour effacer l’illusion d’un micro et d’un macro 23
II. Les fondements d’un dialogue cartographique franco-coréen 33
A. État des lieux de la recherche en France et nouvelles orientations analytiques 33
B. État des lieux de la recherche en Corée et impasses comparatives 37
C. Cartes et miroirs du monde 41
PREMIÈRE PARTIE : SOURCES ET RESSORTS D’UNE CARTOGRAPHIE RÉINVENTÉE 51
Chapitre 1 – Les ressorts traditionnels et taxonomiques d’un renouveau cartographique 52
A. Fine, disciple de Ptolémée 52
B. Yi Hoe met le Joseon sous pli sinocentrique 54
C. La géographie finienne : fille des mathématiques et complément de la théologie 57
D. La géographie du début du Joseon : entre impasses taxonomiques et avancées chorographiques 65
Chapitre 2 – Le temps des compromis : les sources inavouées d’un renouveau cartographique 72
A. Au cœur des discordances entre projections et portulans 72
B. Perspectives enchâssées de la géomancie, du Goryeo et des Gyokizu 79
C. Le maillon arabo-persan, foyer du monde et passerelle entre les extrêmes 87
Chapitre 3 – Les rouages matériels du support cartographique 99
A. À la croisée des chemins médiologiques et de l’histoire des techniques 99
B. Fine et Yi Hoe instruments en main 103
C. La puissance fait main basse sur les instruments de la science 108
D. Modélisation des échanges technologiques franco-coréens 114
D1. Inventions parallèles 114
D2. Transmissions unidirectionnelles 115
D3. Transmissions hybrides 117
D4. Rejets de greffe 123
Chapitre 4 – Les régressions d’une percée 128
A. Projection et cadre comme alibis de l’ignorance 128
B. Quelques rivages et provinces inaccostables par la science 131
DEUXIÈME PARTIE : L’INSTRUMENTALISATION CARTOGRAPHIQUE DANS SON CONTEXTE 143
Chapitre 1 – Les cartes et la donne internationale 145
A. La France, facteur aggravant de la désunification de l’Occident 145
B. Le Joseon, centre du décentrement en Extrême-Orient 150
C. Ébauche comparative : le futur passe par le passé 155
Chapitre 2 – Miroirs ou masques ? L’instrumentalisation des cartes sur la scène internationale 157
A. La France de Fine ou les exutoires de l’étau 160
B. Le Joseon de Yi Hoe : leurres aux confins 167
C. Analyse comparative 173
C.1. Aux frontières d’une temporalité flottante 174
C.2. Raison et déraison d’État 184
Chapitre 3 – Des cartes pour consolider le royaume 196
A. Les villes, moteurs ou menaces au royaume de France ? 197
B. Le Joseon, de l’ingénierie agricole à l’ingénierie sociale 202
C. Analyse comparative 206
C.1. Des politiques à quelles échelles ? 206
C.2. Cartographier les « pais » et provinces pour canaliser la crue renaissante 215
Chapitre 4 – Des frontières en question 223
A. Comment (se) représenter les frontières ? 223
B. La cinétique du sens des frontières 232
TROISIÈME PARTIE : LE LANGAGE DES CARTES 243
Chapitre 1 – Les théories du zhengming et de la rectitude morale à travers les cartes de Yi Hoe et de Fine 243
A. La diglossie latin-français renversée 248
B. L’absence du hangeul sur le Kangnido et la diglossie hanja-hangeul 254
C. Analyse comparative : les ressorts d’un coup d’État linguistique 260
Chapitre 2 – Le mouvement des étymologies et des supports 273
A. La descriptio de Fine, entre inertie et réinvestissement du sens 273
B. Le monde, ce paysage déplié sur soie 278
C. Fine et Yi Hoe, stratèges et esthètes 285
D. Le mouvement du monde saisi les cartes 291
Chapitre 3 – Des langues et des lois sur et par-delà les cartes 302
A. Les invariants du grec et du chinois classique modifiés par l’instrumentalisation du français et du hangeul 302
B. La tentation de l’absolutisme 314
CONCLUSIONS 327
A. Les orientations d’un saut cartographique 327
B. Les prémices d’un soft power cartographique 333
C. Les devenirs d’un rayonnement par la langue et l’institutionnalisation 338
BIBLIOGRAPHIE 344
I – Ouvrages sur la Corée et l’Extrême-Orient 344
II – Ouvrages sur la France et l’Occident 346
III – Articles et contributions à des ouvrages collectifs sur la Corée et l’Extrême-Orient 351
IV – Articles et contributions à des ouvrages collectifs sur la France et l’Occident 354
Ⅴ – Ouvrages et articles en coréen 359
VI – Ressources en ligne 361
Ⅵ – Autres lectures transversales 362
GLOSSAIRE 366
Termes 366
Livres 376
Index des cartes coréennes et orientales 381
Autres cartes orientales mentionnées 385
Index des cartes françaises et occidentales 385
INDEX DES NOMS DE PERSONNES 388
Degree
Doctor
Publisher
Chosun University
Citation
에세트 제레미. (2018). Réflexions comparatives sur l’instrumentalisation du néoconfucianisme au Joseon et de la Renaissance en France à travers les cartes de Yi Hoe et Oronce Fine (XVe-XVIe siècles).
Type
Dissertation
URI
https://oak.chosun.ac.kr/handle/2020.oak/13719
http://chosun.dcollection.net/common/orgView/200000267077
Appears in Collections:
General Graduate School > 4. Theses(Ph.D)
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  • AuthorizeOpen
  • Embargo2019-02-08
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